mardi 22 janvier 2013

Sans Ame de Gail Carriger

 
 
Alexia Tarabotti doit composer avec quelques contraintes sociales. Primo, elle n’a pas d’âme. Deuxio, elle est toujours célibataire et fille d’un père italien, mort. Tertio, elle vient de se faire grossièrement attaquer par un vampire qui, défiant la plus élémentaire des politesses, ne lui avait pas été présenté. Que faire ? Rien de bien, apparemment, car Alexia tue accidentellement le vampire. Lord Maccon – beau et compliqué, Écossais et loup-garou à ses heures – est envoyé par la reine Victoria pour enquêter sur l’affaire. Des vampires indésirables s’en mêlent, d’autres disparaissent, et tout le monde pense qu’Alexia est responsable. Découvrira-t-elle ce qui se trame réellement dans la bonne société londonienne ? Qui sont vraiment ses ennemis, et aiment-ils la tarte à la mélasse ?
 
 
Mon Avis :        
 
         Tout d'abord, merci aux éditions le livre de poche de m'avoir fait découvrir ce livre.

        Pour parler de l'histoire, nous sommes dans un Londres du 19ème siècle, où le monde fantastique s'est révélé.
 
        Nous suivons Alexia Tarabotti, vieille fille de 26 ans au caractère bien trempé, intelligente et qui n'a pas sa langue dans sa poche, mais le point le plus important concernant Alexia, c'est qu'elle ne possède pas d'âme.

        L'histoire commence par une soirée ennuyeuse, Alexia tue par accident un vampire, un peu trop entreprenant à son goût et on peut dire qu'elle sait se défendre.

        C'est à partir de cette instant qu'une enquête est ouverte pour comprendre d'où vient ce vampire.

        Pour parler des personnages, Alexia Tarabotti est extra. Elle m'a beaucoup fait rire avec son franc parler, j'ai adoré. Elle dit les choses telles qu'elles sont que ça plaise ou non. Alexia a une amie du nom de Ivy qui porte des chapeaux plus ridicules les uns que les autres. Elle est, malgré cela, l'amie la plus proche d'Alexia. Nous suivons aussi Lord Akeldama, un ami vampire de notre héroïne. Enfin il y a Lord Macon, loup-garou à la tête du BUR, la police surnaturelle et alpha de la ville. Il y a de nombreuses querelles entre lui et Alexia. Néanmoins, on ne peut nier que c'est un beau parti et qu'il n'est pas insensible au charme d'Alexia.

Conclusion :

        Une écriture originale, qui nous plonge dans le charme de l'époque victorienne. L'intrigue et l'histoire sont intéressantes.
        Un bon roman que je conseille, je me replongerai volontiers dans le second tome, Sans forme.


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